Dans ce billet, j’aborde quelques questions taboues concernant l’enseignement professionnel français, en partant de la découverte progressive que j’en fis, avec son lot de surprises, souvent révélatrices de la culture dominante de notre société méprisante envers ce qui ne relève pas des humanités classiques ou des sciences dures telles qu’elles sont enseignées en classes préparatoires aux Grandes écoles.
